Qualité de l'argent colloïdal
Caractéristiques des solutions d'argent colloïdal
- La taille des particules
- La concentation en PPM
- La qualité de l'eau
- La qualité des électrodes
- La couleur de l'argent colloïdal
Taille des particules
Le principal critère de qualité et d'efficacité d'une solution d'argent colloïdal est la taille de ses particules. Il y a une relation étroite entre la taille des particules et l'efficacité du produit.
- Les particules colloïdales doivent être suffisamment fines pour ne pas s'agglutiner entre elles. En effet, au-delà d'une certaine taille, elles sont attirées les unes vers les autres et cherchent à s'unir. Ce phénomène peut alors faire "boule de neige", jusqu'au moment où l'argent précipite et se dépose au fond de la solution sous l'action de la pesanteur. Bien sûr, plus il y a d'argent qui précipite, plus le produit perd de son efficacité.
- Outre le phénomène de précipitation mentionné ci-dessus, la taille des particules détermine aussi leur surface de contact avec les micro-organismes, et celle-ci détermine à son tour une grande partie de la valeur thérapeutique du produit. Plus les particules sont fines, plus leur surface de contact est étendue et plus elles seront à même de pénétrer et de se disperser dans les tissus. En d'autres termes, pour augmenter la capacité germicide d'une quantité d'argent donnée, il faut exposer à l'eau une surface de métal maximum. Ceci s'obtient en fragmentant l'argent en particules les plus fines possibles. Ainsi donc, un produit de haute qualité contiendra un maximum de particules de la taille la plus petite possible. Dans un produit ancien comme le collargol, la taille moyenne des particules était de 20 nm. Les meilleurs produits actuels ont des particules dont la taille descend en dessous du nanomètre, comme l'argent colloidal du laboratoire de Notre-sante.ch
Pour donner une idée de ce que cela représente, l'un des virus les plus minuscules, le virus du rhume (rhinovirus) a une taille de 20 nm.
ConcentrationLa quantité réelle d'argent dans une solution colloïdale se mesure en milligrammes par litre. Dans la pratique, on utilise le plus souvent une mesure équivalente : les parties par million (ppm). Ceci désigne le nombre de parties d'argent (en poids) pour chaque million de parties d'eau. Par exemple, 10 parties par million signifie 10 parties d'argent pour un million de parties d'eau (noté 10 ppm), et équivaut à 10 mg/l.
D'après l'expérience des utilisateurs et des fabricants, et d'après les tests effectués en laboratoire, il semble qu'aucune affection ne nécessite de concentrations supérieures à 15 ppm. La plupart des solutions commerciales ont une concentration de 5, 10 ou 15 ppm. Une étude universitaire américaine a montré encore une fois la puissance de l'argent et le pouvoir de l'argent pour tuer les bactéries, les virus, etc. (entre 2.5 ppm et 5 ppm) Voir la page http://www.argent-colloidal.info/Etude%20universitaire.html, attention les concentrations supérieures en tendance à jaunir les dents, la langue, la peau par leurs couleurs jaune pâle, or, brun, rouge et noir. Le brun, rouge et noir indiquent des produits de qualité inacceptable.
Comme on l'a expliqué précédemment, plus les particules sont petites, plus la solution est efficace, pour une quantité d'argent équivalente. Ingérer, par exemple un morceau d'argent métallique d'un milligramme n'aurait pas beaucoup d'effet. Par contre, si ce milligramme était divisé en un million de particules d'argent, il serait beaucoup plus efficace parce que chaque particule d'argent s'attaque à un micro-organisme pathogène. Donc, à concentration égale, ce produit est un million de fois plus efficace que le précédent. C'est pourquoi il n'est pas nécessaire d'avoir de fortes concentrations si l'argent est divisé en un nombre maximum de particules. En outre, plus la concentration des particules augmente, plus ces particules vont avoir tendance à s'agglomérer, et finalement à précipiter. Si bien qu'au-delà de 50 ppm, la solution nécessiterait un stabilisant qui en réduirait l'efficacité. Autres critères de qualité.
Qualité de l'eau : l'argent colloïdal doit être préparé avec une eau de haute qualité déminéralisé et distillé. En effet, si l'eau utilisée contient trop de solides dissouts, les ions d'argent produits vont se combiner avec ces solides pour former des sels d'argent potentiellement toxiques. En outre, une telle eau possède une conductivité trop élevée qui engendre la formation de grosses particules. L'eau du robinet, l'eau minérale et même une eau filtrée par osmose inverse sont donc proscrites. Les chercheurs qui ont étudié les propriétés et la structure de l'eau ont même conclu que l'eau distillée était une eau "morte" et qu'il fallait lui préférer une eau non dénaturée par la chaleur, mais c'est la seul méthode pour avoir une eau conforme à la monographie "Eau Purifiée" de la pharmacopée européenne en vigueur. Un distillateur d’eau enlève efficacement tous les contaminants organiques et inorganiques, ainsi que les impuretés biologiques, que ce soit des métaux, minéraux, produits chimiques ou micro-organismes :
- plomb, cuivre, nickel, argent, chrome…
- radium, plutonium...
- calcium, magnésium, sodium, potassium, chlorure, sulfate, bicarbonate, fluor…
- nitrates, chlore, résidus médicamenteux, insecticides, herbicides, détergents, PCB, hydrocarbure…
- virus, bactéries, germes, microbes, algues, levures, moisissures...
Ce traitement de l’eau permet donc d’obtenir une eau purifiée ultra pure : une eau distillée. Aucun autre système ne va aussi loin qu'un distillateur d'eau : 99.99% des solides dissous sont éliminés.
Distillation de l’eau : un procédé propre, sûr et respectueux de l'environnement
Basée sur le cycle naturel de l’eau, la distillation est une méthode permettant d'obtenir de l'eau distillée par évaporation et condensation. Les contaminants restent dans la cuve de chauffe, les gaz à faible point d'ébullition sont évacués par un évent.
Par ailleurs, nos distillateurs d’eau n’engendrent :
- pas de surconsommation d’eau
- pas de sous-produits
L'eau doit-être ensuite dynamisée avec des fréquences thérapeutiques. Des laboratoire de recherche comme Notre-sante.ch travail aussi sur l’intégration vibratoire dans l’argent colloïdal de fréquence précise de remède comme l’homéopathie, les fleurs de Bach, l’aromathérapie, le lithothérapie, les fractals HFC - le 5 ch etc..(C'est la mémoire de l'eau!)
Qualité des électrodes : les électrodes doivent elles aussi être d'un degré de pureté suffisant pour éviter la formation d'ions plus ou moins toxiques. La pureté conseillée est généralement de 99.99 %, mais 99.9 % semble aussi très acceptable comme le montre l'expérience effectuée par Peter Lindermann :
Les impuretés totales admissibles pour l'argent à 99,9 % ne doivent pas dépasser 1000 ppm. Ces impuretés sont : 1) cuivre (maximum 800 ppm), 2) plomb (maximum 250 ppm), 3) fer (maximum 200 ppm), 4) bismuth (maximum 10 ppm)... Quand ce produit est utilisé pour fabriquer de l'argent électrocolloïdal à une concentration de 5 ppm, les impuretés maximales se réduisent à 4 ppmd (parties par milliard) de cuivre, 1,25 ppmd de plomb, 1 ppmd de fer, 0,05 ppmd de bismuth. Avec des taux aussi faibles on peut raisonnablement penser qu'il n'y a aucune raison de s'inquiéter...
... Nous avons demandé l'analyse d'un échantillon d'argent colloïdal à 10 ppm, obtenu avec des électrodes d'argent à 99,9 %. Les principales impuretés trouvées furent : 1) sodium (470 ppmd), 2) calcium (260 ppmd), 3) manganèse (70 ppmd), 4) potassium (50 ppmd), 5) magnésium (24 ppmd). Aucune de ces impuretés ne pouvant provenir de l'argent, cette analyse suggère qu'il faut se préoccuper davantage de la qualité de l'eau plutôt que de dépenser une fortune pour se procurer de l'argent ultra pur.
Au simple fil d'argent, on préférera un ruban dont la largeur peut varier entre 6 mm et 25 mm. D'une part la durée de vie de l'électrode sera beaucoup plus longue, d'autre part la densité*2 du courant électrique sera d'un niveau plus faible, ce qui entraîne la production de particules plus fines.
Couleur : un indicateur simple, mais fondamental, la qualité d'une solution ionique d'argent colloïdal est la couleur qu'elle présente. En fait, il faudrait plutôt dire l'absence de couleur, puisque les meilleurs produits sont parfaitement incolores. À mesure qu'augmente la concentration et/ou la taille des particules, on voit apparaître une certaine teinte : jaune pâle, puis or, brun, rouge et noir. Le brun, rouge et noir indiquent des produits de qualité inacceptable. Il faut noter que les suspensions colloïdales métalliques décrites plus loin (Mesosilver, Advanced Colloïdal Silver) présentent naturellement une couleur brune. Stabilité, conservation : au bout d'un temps plus ou moins long, les particules d'argent finissent par perdre leur charge électrique et précipitent. Pour prolonger la durée de vie du produit, il est bon de le conserver dans des récipients en verre. Le plastique réagit avec les particules porteuses d'une charge électrique qui finissent par précipiter. En outre, l'expositionà la lumière dégrade rapidement la solution. Des récipients en verre coloré (brun ou bleu-cobalt) permettent de minimiser ce phénomène. Certains produits de haute qualité revendiquent une durée de vie "illimitée". Cela resteà voir, mais les tests ont montré qu'ils étaient beaucoup moins sensibles aux facteurs ci-dessus et pouvaient se conserver au moins un an ou deux sans perdre d'efficacité.
Cette photo a été prise par le laboratoire de Notre-sante.ch vue de haut et montre l'effet Tyndall dans une lumière tamisée. Le laser est dirigé de droite à gauche. Les particules d'argent dans l'eau et ce qui est vu est la lumière réfléchie par ces particules. Un fort effet Tyndall indiquerait des grosses particules. Cette photo a été prise avec de l'argent colloïdal à 15 ppm
Sur internet, vous pouvez trouver de l'argent colloidal de couleur jaune pâle, or, brun, rouge et noir, indiquent des produits de qualité inacceptable! Ne pas consommer SVP !